Je vous laisse apprécier le résultat . Du coup, ca me donne envie d'apprendre la partition d'origine...
Cette partition simplifiée est dispo ici.
MERCI IBLUES !
En ce jour de Saint Valentin, voici une petite impro que je dédicace à ma Chérie, et c'est aussi l'occasion de rendre modestement hommage à la voix magique de Whitney Houston, qui nous a tragiquement quittée le we dernier.
Je n'ai pas de partition, car j'ai improvisé sur les accords de tablature trouvé ici (merci à laMéthode Colin qui m'a bien fait progresser dans ce domaine).
La chanson originale est dispo ici .
Et en voici une version arrangée maison :
Petite récréation dans la série 2 de la méthode Colin, iblues, un élève de cette méthode, nous a publié une version de la musique d'un célèbre film adapté "façon Colin", très accessible, mais néanmoins très beau.
Le premier morceau du répertoire série 3 Sébastien m'a fait remémorer cette merveilleuse chanson de Barbara Streisand, reprise depuis par d'autres artistes. Mais je trouve qu'aucune version n'égale l'originale, que vous pouvez écouter ici.
Voici donc comme promis la transcription en version "Colin" de la chanson, dont vous pouvez télécharger la partition ici. Cette pièce est accessible je pense à partir de la fin de la série 3. Il s'agit d'un slow en arpèges triolet avec la mélodie principale à la main droite.
Je retravaillerais la partition pour une version plus élaborée. Si vous avez la partition de la version jouée ici, je suis intéressé !
Allez, assez de bla bla, place à la musique. Voici les paroles :
Midnight
Not a sound from the pavement
Has the moon lost her memory
She is smiling alone
In the lamplight
The withered leaves collect at my feet
And the wind begins to moan
Memory, all alone in the moonlight
I can dream of the old days
Life was beautiful then
I remember the time I knew what happiness was
Let the memory live again
Every street lamp seems to beat
A fatalistic warning
Someone mutters and the street lamp sputters
Soon it will be morning
Daylight
I must wait for the sunrise
I must think of a new life and
I mustn't give in
When the dawn comes
Tonight will be a memory too
And a new day will begin
Burnt out ends of smoky days
The stale court smell of morning
A street lamp dies
Another night is over
Another day is dawning
Touch me,
It is so easy to leave me
All alone with my memory
Of my days in the sun
If you'll touch me,
You'll understand what happiness is
Look, a new day has begun...
Il y a 2 semaines, j'ai publié cette mélodie magnifique de James Horner, adaptée pour les élèves de la méthode Colinici. Ca m'a donné envie d'apprendre la partition originale, mais après avoir écouté différentes interprétations, je n'ai préféré trouver ma propre improvisation, car cette chanson s'y prête vraiment bien.
Je vous la livre ici, j'espère qu'elle vous plaira !
S'agissant d'une improvisation, il n'y a donc pas de partition.
Voici l'introduction d'une chanson cultissime des années 70. Je ne savais pas qu'on faisait déjà des clips (!) à cette époque. Voici la vidéo, elle est super kitch, ca rappellera des souvenirs à certain(e)s...
Je ne connaissais même pas le nom du groupe, j'ai dû l'entendre avec la reprise d'Annie Lennox, dans les années 80. Mais que cette chanson est belle !
La partition provient de Lilou. Ce morceau fait travailler les notes tenues et l'ajout progressif de voix supplémentaires à la mélodie principale. On part d'une musique simple à 2 voix (main gauche + main droite) pour finir sur les 2 dernières mesures sur 4 voix.
Le travail technique est intéressant. Néanmoins, d'un point de vue mélodie, je pense que l'accompagnement main gauche mérite d'être enrichie. Je travaille à mes heures perdues sur une transcription de cette mélodie avec un accompagnement "Colinesque"...
Je vous la publierais lorsqu'elle sera prête. En attendant, voici les paroles (pour chanter avec Annie !) :
We skipped a light fandango,
Turned cartwheels 'cross the floor.
I was feeling kind of seasick,
But the crowd called out for more.
The room was humming harder,
As the ceiling flew away.
When we called out for another drink,
The waiter brought a tray.
And so it was that later,
As the miller told his tale,
That her face at first just ghostly,
Turned a whiter shade of pale.
She said there is no reason,
And the truth is plain to see
That I wandered through my playing cards,
And would not let her be
One of sixteen vestal virgins
Who were leaving for the coast.
And although my eyes were open,
They might just as well have been closed.
And so it was later,
As the miller told his tale,
That her face at first just ghostly,
Turned a whiter shade of pale.